-
Salaire minimum : « une autre occasion ratée », estime la Coalition Minimum 18 $
En se limitant à une maigre augmentation de 0,75 $ du salaire minimum, le gouvernement Legault rate encore une fois l'occasion de lutter contre la pauvreté, d'appuyer la reprise économique et d'apporter des solutions concrètes aux problèmes de rareté de main-d'œuvre, estiment les membres de la Coalition Minimum 18 $. De plus, cette hausse ne pourra permettre à une personne seule travaillant à temps plein au salaire minimum de se sortir de la pauvreté, préviennent-ils. En raison notamment des augmentations marquées du coût de la vie ces dernières années, le salaire minimum aurait dû être haussé à 18 $ l'heure, font-ils valoir.
-
Échec de la médiation : le personnel de la fonction publique se dirige vers la grève en 2022
Après plus deux mois de médiation, c’est un constat d’échec qu’ont fait les personnes déléguées du SFPQ réunies hier à Québec. Le conseil de négociation de l’accréditation Fonctionnaires, regroupant près d’une centaine de personnes déléguées, a déploré l’intransigeance du gouvernement Legault devant les demandes syndicales, et voté en faveur de moyens de pression lourds pouvant mener à la grève. Ainsi, quelque 26 000 membres du SFPQ dans la fonction publique seront appelés à se prononcer, après la période des Fêtes, pour la mise en place de moyens d’action robustes pouvant conduire à des journées de grève en 2022.
-
Les conditions salariales désavantageuses vont aggraver la pénurie de personnel de l’état, déplore le SFPQ
Depuis l’arrivée en poste du gouvernement Legault, le fossé salarial qui sépare l'ensemble du personnel de l'État québécois aux autres salarié.e.s québécois continue de se creuser. Il se situe dorénavant à 17,5 %, en hausse d’un point de pourcentage par rapport à l’an passé. C'est ce que constate l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) dans une étude dévoilée ce matin. Même lorsqu'on prend en compte les avantages sociaux, le retard de la rémunération globale s'établit à 9,4 %.
-
La CAQ perd le contrôle des sous-traitants en informatique, constate le SFPQ
Alors que l’État entreprend un grand virage vers l’adoption des technologies numériques et de l’intelligence artificielle, il n’a toujours pas mis en place les solutions pour mettre fin au bordel informatique et s’éloigner de l’influence des firmes de consultants et des grandes entreprises de nouvelles technologies. C’est l’un des constats présentés par le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) lors de la commission parlementaire chargée d’examiner le projet de loi no 6, Loi édictant la Loi sur le ministère de la Cybersécurité et du Numérique et modifiant d’autres dispositions.
-
Monsieur Legault, ça prend plus que des beaux discours!
Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) occupe un nouvel espace médiatique au cours des semaines de protection afin de rappeler au gouvernement Legault que des solutions existent pour contrer la pénurie de main-d'œuvre qui frappe la fonction publique du Québec. Dans une publicité radio et une campagne d'affichage sur le Web, le message du SFPQ parle des conditions salariales dans la fonction publique québécoise qui répond durablement au recrutement de personnel et menace les services publics.
-
Création d’un ministère de la Cybersécurité et du Numérique : une promesse irréaliste, selon le SFPQ
Au lendemain du discours inaugural, le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) rappelle au gouvernement Legault qu’il devra se donner les moyens de ses ambitions s’il veut réussir le virage numérique. La volonté de créer un nouveau ministère de la Cybersécurité et du Numérique se heurtera à la pénurie de main-d’œuvre pour créer une telle expertise interne. Le SFPQ rappelle qu’il y a toujours près de 1 000 postes vacants dans le domaine des technologies de l’information au gouvernement du Québec.
Page 3 de 5